Ron #1 (Halloween !)

Ron enfila sa veste et sortit de la maison. Les filles allaient à leur propre soirée d'Halloween avec leurs copines d'école et resteraient y dormir. Martha, leur mère, avait deux amies qui venaient passer la soirée chez eux. Lui rejoignait trois amis. Ils s'étaient donnés comme défi de dormir à l'hôtel désolation. Ce grand hôtel attirait beaucoup d'adolescents du coin une fois par an. Lors de la nuit d'Halloween, des jeunes d'Illumis et de Romant-sous-bois évoluaient en direction de cette grand bâtisse. Certains n'y restaient que quelques heures, tandis que d'autres osaient y rester la nuit. Et pourtant, tous les ans, des rumeurs parlaient d'apparitions, et de disparitions. En 1973, un jeune de seize ans n'était jamais revenu des toilettes délabrées. En 1982, c'était un couple échangiste qui s'y étaient retrouvés qui juraient qu'un cinquième individu s'étaient joints à eux à leur insu, remplaçant l'une des deux amantes. En 1995, une soirée de vingt-cinq fêtards se transforma en la plus grand affaire de disparition de la décennie à Kalos. Personne n'était rentré, et seuls les gobelets et l'alcool avaient été retrouvés. Oui, Romant-sous-Bois et ses alentours recelaient de légendes urbaines de ce genre. Son ciel d'octobre perpétuel entretenaient ces histoires et cette sombre réputation. Pourtant, tous les ans encore, des adolescents venaient tester leur courage.

Au dos de son Doduo, il vint rejoindre ses amis. Dire que le bâtiment tenait encore debout était un euphémisme. C'était une véritable ruine. Ronald aperçut d'autres personnes près de l'entrée. C'étaient d'autres groupes de téméraires, qui pensaient pouvoir affronter cette nuit d'Halloween.

"Tu n'es pas costumé ?"

Fit Alain dans son costume d'homme invisible. Ron se mit à sourire de défi.

"J'ai le costume de la victime."

Ils rigolèrent. C'était une excuse pour expliquer pourquoi il n'avait pas de costume. Ronald voulait fêter un Halloween en prouvant qu'il n'avait pas les chocottes. Il ne ferait pas parti de la troupe des freaks, il en serait la proie. Le groupe de quatre observa la demeure. La nuit approchait, et le crépuscule rendait le bâtiment toujours plus lugubre. Les cris des Cornèbres et le frémissement des feuilles jouaient les sombres notes des cruelles mélodies de cette soirée. Mais peut-être n'y avait-il rien à craindre. Ce n'étaient peut-être que des racontards. Peut-être que l'horreur ne serait autre qu'un verre d'alcool vide de contenu.

Modération SVP :
Event Halloweeeeeeeen
Premier tirage de dé SVP.

Vous trouvé 1 Spécial +

La soirée avait débuté et le compte de bière en était à deux. C'en était ce moment où l'esprit et la conscience étaient encore vigilants, mais où les échanges s'ouvraient de plus en plus à des sujets intéressants. La nuit était tombée et avait recouvert l'hôtel d'une obscurité angoissante. Pour l'ambiance, les fêtards avaient tous amenés des bougies. Pour cette soirée, c'était la règle. Pas de lampe torche, uniquement des flammes alimentées par la cire. Heureusement, la lumière de la lune filtrait à travers les fenêtres brisaient. Dommage que le vent accompagnait ces rayons. Les fêtards étaient obligés de rester couverts. Par chance, ils avaient amené un réchaud afin de faire réchauffer des conserves. Et l'alcool leur permettait d'oublier le froid de la fin octobre.

Un petit malin avait pris soin d'emmener une radio chargée en musique angoissante. Si l'endroit était déjà lugubre, la musique posait la cerise sur le gâteau. Le groupe était positionné dans le grand hall, et finalement, tous les téméraires s'étaient réunis en une seule soirée. Ils échangeaient, se reconnaissaient, ou se rencontraient pour la première fois. Certains étaient de Romant-sous-bois : ados de seize ans aux employés de plus de vingt ans. Des jeunes cadres d'Illumis avaient abandonné leur bureau pour tester leur courage. Habitués à commander, ils appréciaient ces fêtes étranges qui déstabilisaient leur confiance en eux. C'était un challenge de rester là, loin du confort de la capitale.

Ronald acheva sa troisième bière. Il avait échangé pendant trente minutes sur pourquoi telle série étaient devenus meilleures depuis sa saison 3, avec l'évolution de tel protagoniste. La nature reprit ses droits lorsqu'il sentit le besoin de s'absenter quelques minutes. L'hôtel était vieux, mais disposait encore de canalisations plus ou moins viables. Il s'éloigna et pénétra un couloir sombre. Sans lampe, il avança avec prudence, la seule lueur d'une bougie pour l'éclairer. Le bâton de cire lui accordait largement le temps de faire l'aller-retour. Malgré son état second, il évita un petit trou dans le plancher, juste avant les sanitaires réservés aux hommes. Ces derniers étaient délabrés, mais toujours fonctionnels. Le jeune homme se vida, et apprécia de pouvoir se laver les mains. Un grincement se fit entendre. Il releva la tête et regarda autour de lui. Il ne vit personne. Il essaya de percer à travers l'obscurité, mais il n'aperçut aucune silhouette furtive. Les mains posées sur le lavabo, il resta immobile une seconde. Il eut la frousse le temps d'un instant. Il entendit des pas au dessus de sa tête. Quelque chose marchait à l'étage du dessus. Mais il se rassura. Cela ne devait être que de simples fêtards souhaitant explorer le bâtiment. Ronald s'essuya les mains sur son jean, et s'approcha du couloir. Ses yeux se posèrent sur un objet qu'il n'avait pas remarqué à l'aller. Il se pencha, et trouva une vieille bouteille poussiéreuse. Un special +, un produit destiné aux Pokemon pour augmenter leurs pouvoirs. Etrange, mais possible. Il arrivait que des objets se trouvent dans des endroits improbables.

Modération SVP :
Jet de dés numéro 2

Un spectre vous dérobe 200 pkd.

A peine avait-il ramassé l'objet qui se trouvait au sol que Ronald sentit quelque chose le tripoter. Il venait clairement de sentir une main dans la poche arrière de son jean ! Il se retourna, s'attendant (mais plutôt espérant) surprendre un mauvais plaisantin. Mais il ne vit rien. Ses yeux étaient écarquillés, alertes, essayant de repérer dans la nuit un quelconque intrus. Il patienta quelques secondes, souhaitant au fond de lui que personne ne fasse son apparition. Au fond de lui, il savait que si quelque chose ou quelqu'un apparaissait, ce ne serait pas un ami.

Il expira pour retrouver son calme et son sang-froid. Il avait dû réver, et admis qu'il était peut-être plus effrayé qu'il ne le prétendait. C'était Halloween après tout. Ce manoir lugubre avait tout pour intimider ses visiteurs. Il s'en retourna en direction de la fête, toujours guidé par la lumière de sa bougie. Il n'entendit rien d'autres que les rires des fêtards qui continuaient à boire sans souci. Au moins, l'alcool leur faisait oublier la peur. Il s'installa, et attrapa une nouvelle bouteille, et une poignée de chips. Etrangement, il savait que quelque chose n'allait pas. Il demanda à l'un de ses amis :

"Y en a qui sont allés faire je ne sais quoi là-haut ? J'ai entendu du bruit ..."

L'ami le regarda d'un oeil circonspect.

"C'est pas possible, les escaliers sont en ruines ... à moins de vouloir risquer sa vie pour atteindre l'étage."

Ronald fut regardé comme s'il venait de faire une mauvaise blague. Essayait-il d'effrayer la galerie ? C'était bien son genre. Mais pourtant, pour une fois, il ne plaisantait pas. Il n'avait pas le sourire, et son regard était diablement sérieux. Il fouilla, comme pour se prouver à nouveau qu'il avait tort, dans la poche de son pantalon. Il émit un juron étouffé. Son porte-feuille avait disparu ... exactement là où il avait senti quelque chose, ou quelqu'un le fouiller. Il n'avait pas révé. Il se retourna, et frémit. Puis il se leva.

"Tu y retournes déjà ?!"

"J'ai .... oublié un truc."

Oublié n'était pas le mot juste. Mais il ne voulait pas donner de sens à ce qui n'en avait pas.

Modération SVP :
Troisième jet de dés !!!

vous trouvez 2.000 pkd!

Ron s'avança dans le noir, penché en direction du sol, la bougie à la main éclairant faiblement son chemin. Il frémissait tout en cherchant assidûment son portefeuille. Ce dernier était tombé par un concours particulier de circonstances. Toutes liées au hasard et à la maladresse de Ronald. Du moins, c'est ce qu'il voulait se faire croire. Il n'avait pas oublié cette sensation d'avoir été fouillé. S'il avait perdu son porte-feuille, ce serait près des vieux sanitaires pour homme. S'il retrouvait son porte-feuille au sol, il s'en contenterait. Inutile de chercher plus d'informations.

Il était près des sanitaires. Le jeune homme fit vaciller la flamme de la bougie de gauche à droite, toujours en direction du sol. Pas de portefeuille, et seulement de la poussière et un plancher pourri. Ronald désespérait lorsqu'il vit enfin quelque chose d'intéressant. Un petit billet de 100 Pokedollars qui traînait là, au sol. Il s'approcha, et le ramassa. Le billet était flambant neuf. Était-ce le sien ? Probablement pas, son porte-feuille ne contenait que quelques pièces. Toute cette mésaventure avait finalement du bon. Et ce n'était pas fini ! Alors qu'il laissa traîner son regard au sol, continuant de chercher du regard son porte-feuille, Ronald remarqua un nouveau billet qui était posé là.

Baissant toute garde, il s'approcha et le ramassa. C'était là encore un billet récent, et non pas un vestige de ce vieil hôtel. Si c'était trop beau pour être vrai, le jeune homme osa surveiller le sol. Et un autre billet attendait d'être ramassé ! Ronald imagina l'existence d'un riche petit poucet qui semait des billets plutôt que des miettes de pain. C'était louche, mais il y avait de l'argent à la clé, et la piste continuait. Après le troisième, ce fut un quatrième billet, puis un cinquième, et un sixième. Ronald se doutait qu'ils n'étaient pas égarés. Ils menaient à une piste au fond du couloir. L'attrait de l'argent lui faisait oublier toute vigilance. Même lorsqu'un escalier s'ouvrit devant lui, le jeune homme ne vit que les morceaux de papier disposé au sol. Il fallait monter pour continuer d'amasser de l'argent.

Et bien soit ... Ronald imaginait déjà ce qu'il allait pouvoir faire de tout cet argent. Qui sait, la fin de la piste le ménerait peut-être à un trésor ?

Modération SVP :
Quatrième lancer de dés.

Ron était presque arrivé au premier étage quand il entendit un cliquetis. Il était difficile de ne pas y faire attention. Il n'entendait plus la musique de la sono des fêtards. Dans ce couloir sombre, le moindre son résonnait aux oreilles des imprudents. Sa bougie était consumée aux trois quarts. Il ne voulait pas être là quand elle s'éteindrait. La piste des billets continuait, et happé par le gain, Ronald s'aventura encore plus.

Le cliquetis résonna de nouveau. C'était proche, presque à côté de lui. Le jeune homme se tourna brusquement en direction du bruit, espérant surprendre son auteur. Mais il vit rien si ce n'était une porte, avec un trousseau inséré. Était-ce possible qu'il ait bousculé ces objets en marchant. Non, ce n'était pas possible. Peut être était ce le vent ? Difficile à croire, aucun souffle ne parvenait jusque là. Les yeux de Ron s'écarquillèrent. Les clés commencèrent à tourner dans la serrure, sans aide. Quelle magie ou mauvaise farce était ce là ? La porte s'ouvrit, révélant une chambre délabrée perdue dans l'obscurité.

Le jeune homme regardait les clés. Le trousseau était immobile. Il hésita, et se décida à les prendre en main. Il voulait s'assurer que cet objet était ordinaire et inoffensif. Grossière erreur de la part du jeune homme. Il sentit quelque chose le griffer, l'obligeant à reculer sa main. Il n'était pas blessé, mais Ron avait bel et bien senti un choc. Il ne comprit qu'ensuite qu'il avait affaire à un Pokémon farceur : Trousselin.

Modération svp :
Vive-attaqu: 40 d'attaque, agit en premier, type normal et attaque physique.

Doduo:

Ron entendit des bruits de claquements de portes. Le son se réverbérait à travers le couloir. Un instant, il crut qu'une personne courait et fermait toutes les entrées qui parsemaient le lieu. Celle qui se trouvait devant, et qui le séparait du couloir, se ferma à son tour brusquement. Il entendit un son de verrouillage. L'hôtel était peut être véritablement hanté. Qui sait jusqu'où ce piège s'était refermé. Les portes de l'entrée de l'hôtel même s'étaient peut-être verrouillées. Tous les membres de la fête seraient alors séquestré, en proie à un être quelconque. Ou alors était-il un cas isolé. Il disparaîtrait de la surface de la Terre avant que son cadavre purulent ne soit retrouvé six mois plus tard.

Mais Ron comprit vite qu'il n'avait pas affaire à un être mystérieux. Il baissa sa main en direction du cliquetis continue qui donnait devant lui. La lueur de la bougie laissait entrevoir le sourire narquois du Trousselin. Le Pokémon venait d'enfermer le malheureux visiteur dans la chambre en ruines. Quelles étaient ses intentions ? Faire du mal à son captif ? Peut-être était-ce Pokémon qui était à l'origine de toutes ces légendes urbaines ? Ou peut-être voulait-il donner une peur bleue à son imprudent visiteur. Il apprendrait par la suite à ne plus suivre les billets qui traînaient au sol. Ou encore n'était-ce dû qu'à la solitude, que ce Trousselin avait gardé Ron dans la chambre.

Sans y croire, Ron tenta d'ouvrir la porte. Mais ses doutes étaient fondés. La porte en bois resta coincée, son verrou enfoncé. Il se tourna vers le Pokémon clé qui semblait amusé. Ronald lui demanda de le laisser sortir avec un ton qui alternait entre l'intimidation et la supplique. Ce n'était pas drôle. Le plancher était pourri, et s'il paniquait, l'humain pouvait se blesser.

Voyant que le Trousselin l'ignorait, Ronald attrapa la PokeBall à sa ceinture. Il sortit son Doduo. L'oiseau s'étira et l'une des têtes laissa échapper un croassement qui équivalait à un bâillement. La seconde tête titilla la première pour la réveiller. Le lieu était loin d'être adapté pour son grand oiseau bicéphale. Il ne pouvait pas courir ou sauter contrairement à son petit adversaire. Ron demanda à son Pokémon d'attaquer. Les deux têtes se dressèrent. Elles examinérent de leurs grands yeux noirs le Pokémon trousseau. Le Doduo comprit que c'était lui que Ton leur demandait de combattre. L'oiseau usa donc de l'effet de surprise provoquée par son apparition pour bousculer le petit Trousselin. Il se baissa, et usa de ses grandes pattes élancées. Son corps duveteux vint se cogner avec grande vitesse contre l'adversaire qui perdit l'équilibre un instant. Ses clés résonnaient dans la pièce. Doduo lui rétablit son equilibre. Le plancher grinçait à chacun de ses pas. Non, ce sol n'était vraiment pas adapté. Fuir était la meilleure solution. Ronald souhaitait convaincre le farceur d'abandonner et de le libérer. Mais s'il n'y parvenait pas, alors peut-être que défoncer la porte était la meilleure solution.

Modération SVP :
Tentative de dressage sans PokeBall.

Doduo:

Ronald observa avec attention et fermeté le Trousselin. Ce dernier finit par comprendre que sa blague ne faisait pas rire l'humain. Il fallait dire que les craquements provoqués par le poids et les mouvements du Doduo n'aidaient pas à se détendre. Penaud, le Trousselin s'approcha de la porte et de sa serrure. Il inséra l'une de ses clés à l'intérieur et fit un mouvement de rotation. La seconde suivante, Ron put sortir de la pièce. Il se tourna vers le Trousselin. Ce dernier le regardait d'un oeil curieux et un peu triste. Il semblait avoir apprécié de s'amuser aux dépens du jeune homme. Il aurait aimé que cela continue.

"Allez, sans rancune."

Fit Ronald avant de s'engouffrer dans le couloir. Après tout, il était rare qu'un humain et un Pokémon sauvage puissent se séparer en bons termes après une altercation. Autant être bon joueur. L'humain fit revenir son Doduo dans sa PokeBall. Chacun de ses pas faisaient craquer le plancher de façon inquiétante. L'oiseau semblait être à l'étroit dans cet endroit.

Ce dont Ronald ne se doutait pas. C'est qu'il était suivi. Par le petit Pokémon trousseau. L'humain était amusant, et le Pokémon s'ennuyait seul dans cette pièce miteuse.

Modération SVP :
Lancer de dès numéro 5 !!!

1 Défense Spec

Une fois sorti de la chambre, Ron n'avait qu'une envie : rejoindre la fête. Cet hôtel sombre lui donnait des frissons. Ce n'était plus amusant de s'y promener seul. Le jeune homme se rapprocha des escaliers. Il entendit un cliquetis répété derrière lui. Il se retourna, profitant de ce qu'il restait de sa bougie pour observer. Il n'y avait rien. Il avait pourtant bien entendu du bruit. Il continua de marcher, et de nouveau, il entendit ce bruit de trousseau. Dans ce silence, c'était la seule chose qui résonnait. Ronald tenta un regard vers l'arrière, mais il n'aperçut rien dans la pénombre. Il prit une inspiration. Il devait se convaincre qu'il était seul.

Il descendit les escaliers, et leva sa jambe soudainement. Il venait d'être surpris en sentant quelque chose lui frôler la jambe. Ce n'était pas son imagination. Il voulait jeter un oeil, mais son éclairage n'était pas suffisant. Il devait admettre qu'il ne pouvait rien. Quoi qu'il y ait dans la pénombre, il ne pouvait pas l'observer. Il continua sa descente. Il ne resterait plus qu'un couloir avant de rejoindre sa bande. D'où il était, il ne les entendait pas. A croire qu'il était seul.

Il continua à marcher à travers le couloir. Sa bougie s'éteignit, et Ron se retrouva dévoré par les ténèbres. Il resta immobile un instant. Il vit toute la différence que pouvait faire une bougie dans cet endroit. Et dire qu'il pensait l'endroit effrayant. Ne plus rien distinguer était angoissant. Ron continua de s'engager dans le couloir. Il se souvenait que ce dernier allait dans une seule direction avant de rejoindre le hall. Il évolua dans le noir en avançant à tâtons. Il n'oubliait pas que le plancher était instable.

Enfin, il entendit de la musique qui résonnait. Il aperçut une faible lumière. C'était celle des bougies encore allumées. Dans le hall, des jeunes dansaient au son de derniers tubes à la mode, ou des plus anciens. Beaucoup étaient alcoolisés. Ron lui, avait l'impression d'être sobre après son "aventure". Il n'entendait plus le cliquetis, la faute au vacarme des fêtards. L'un de ses potes le vit revenir. Il avait oublié que Ron s'était absenté, et tout comme lui, il ignorait combien de temps il s'était absenté.

Ronald attrapa une bière, l'ouvrir, et la posa sur ses lèvres avant d'avaler une gorgée. Il en oublia si tôt ses frayeurs. Au contraire, il se les appropria :

"Pas si effrayant cet endroit. Je suis allé à l'étage, il n'y a que des salles miteuses."

Modération SVP :
Fin de l'évent.
Fin du topic.

Votre récompense: Possibilité de faire apparaître Darkkrai quand vous voulez au cours de votre aventure et ou vous voulez. Il sera du niveau de votre meilleur Pokémon et capturable.