Alana Koni

█ NOM ET PRÉNOM : Alana Koni

█ SEXE :  Femme

█ ÂGE : 24 ans (7 juillet 1999)

█ RÉGION : Paldea

█ MÉTIER / SPÉCIALISTE : Avocate dans le civil Dresseuse sur son temps libre

█ CAMPS : Elle défend les personnes injustement accusé alors elle se veux dans le camps des gentils

█ POIDS ET TAILLE : 159cm et 63kg

█ COULEUR DES YEUX : vert

█ COULEUR DES CHEVEUX : blond

█ AVATAR : Miki Yoshikawa de HORIMIYA






█ CARACTÈRE :

Depuis mes dix ans, je sais ce que je veux et ce que je ne veux pas faire de ma vie. Je veux être capable de défendre mon père. Ce dernier, Jacques-Yves Koni, c'est fait arrêter cette année là. D'après ma mère, Karen Koni née Green, cette arrestation est injuste. Cette histoire m'a emplit de colère et au lieux de l'emporter sans arrêt comme le faisait mon petit frère, Benjamin Koni, qui a l'époque avait 7 ans, je me suis concentrée sur mes études. Je savais au fond de moi que le mieux pour le sortir de là etait de tout donner pour devenir avocate. Je me suis tellement concentrée sur mon travail scolaire que les gens avaient peur que je devienne solitaire. Ce ne fut pas le cas. Bien que je faisais tout pour être dans les meilleurs de ma classe, je restais tout de même assez proche de mes amies et je ne craignait pas non plus de faire la connaissance de nouvelles personnes. Cela dit, je ne suis pas vraiment une fille qui aime faire des blagues aux autres. Je pars du principe qu'il ne faut pas faire subir a quelqu'un une chose que l'on aimerait pas subir soit même. Je ne sourit pas souvent voir même pas du tout et cela me vaut le titre de femme froide, mais y a des choses dans la vie qui font disparaître les sourires.

Les années ont vite passé et je suis parvenu à entrer en faculté de droit dans la région de Unys. Ma mère n'était pas vraiment pour que je parte aussi loin de Paldea pour y faire mes études surtout qu'il y avait aussi une faculté de droit dans la région, mais je voulais le meilleur endroit pour apprendre. Au début, c'était une véritable catastrophe. Je n'arrivais pas à avoir les résultats que je voulais, mais il était hors de question pour moi de renoncer à ce dont je rêvais depuis des années. Je me suis donc mise a travailler sans relâche renonçant a de nombreuses soirées étudiantes. Il me fallut plusieurs mois pour me remettre à niveau et être dans les dix premiers de la promotion. Lors de ma seconde année de droit, nous avons commencé les études de cas et les procés fictifs. C'est à ce moment précis que mon talent pour l'analyse des détails dans les affaires fut révélé au grand jour. Je me savais observatrice, mais pas au point de rapidement voir les détails qui pouvaient me permettre de remporter le combat. Ce fut grâce à cela je fus conviée au club des dresseurs de la faculté. J'y ai rencontré Sonia Malarys. Cette jeune femme m'a fait comprendre que les hommes n'étaient pas les seuls à attirer mon regard. Nous sommes rapidement devenu plus que des amies et parfois cela m'attirait des ennuis. Dés qu'elle faisait un truc sans moi, j'étais jalouse et nous nous disputions souvent a cause de cela. Aujourd'hui, je suis toujours jalouse, mais je le gère beaucoup mieux. Il faut dire que l'idée de la perdre me refroidit et calme mes ardeurs.





█ HISTOIRE :

Je suis venue au monde le 7 juillet de l'année 1999 dans la ville de Mesaledo. Cette ville immense faisait le bonheur de mes parents qui ne voulait pas entrer dans la routine. Mon père, Jacques-Yves travaillait dans la brigade des pompiers de la ville alors que ma mère était bibliothécaire a l'académie de la ville. Moi, j'étais gardé par Maxine. La jeune femme était agée de dix-huit ans et s'occupait de moi a la perfection. Mes parents me laissait sans craintes pour aller travailler, mais ils adoraient passer du temps avec moi lorsqu'ils avaient terminé leurs journées ou qu'ils étaient en congés. L'année de mes trois ans, la famille commença à s'agrandir avec l'arrivé de Benjamin. Bien que nous nous chamaillons de façon régulière, nous passions du bon temps tout les deux. Je me souviens du jour où nous avions vider nos tirelires pour aller à la fête foraine qui était en ville. Nos parents ne voulaient pas que nous y allions seuls, mais nous en avions fait qu'à notre tête. Nous avions été privé de sorti pendant deux semaine et notre argent de poche nous avait été supprimé pour le mois complet. Nous nous étions bien amusés cela dit et nous ne l'avions pas regretter une seul seconde. A mes sept ans, ce fut Lily qui entra dans la famille. Je l'aimais beaucoup, mais Benjamin en était jaloux. Il venait de perdre son titre de petit dernier alors je le plaignait un peu. Ça n'était pas simple de se retrouver au milieu de deux filles en plus. Lily était trop petite pour pour faire les quatre cents coups avec nous donc elle était un peu mise à l'écart de nos bêtises.

En grandissant, Benjamin et moi nous primes des chemin différents. Moi, après l'arrestation de mon père, je fis le choix d'étudier pour devenir avocate et le sortir de là. Benjamin qu'en a lui se mit à faire de grosse bêtise et faire des coléres. Lily se referma sur elle. Elle était très proche de notre père alors elle ne parlait plus beaucoup. J'ai essayé de me rapprocher d'elle mais elle me repoussait a chaque tentative.

Ce fut cette même année que nous déménageons dans la ville de Alforneira. Ma mère quitta l'académie pour gérer une librairie en ville. Il n'y avait pas des masses de clients, mais ils étaient suffisant pour payer les factures et mettre un peu de coté pour les coups dure. Mes professeurs s'inquiétaient pour moi puisque je passais beaucoup de temps dans les livres de cours. Mais je jouais aussi avec mes camarades. Ils ne le voyaient pas tout simplement. Rapidement, je fus l'une des meilleurs de la classe. Je ne relâcha pas mes efforts pour atteindre mes objectifs.

Petit a petit, chaque membre de la famille trouva ses marques dans la ville et ma mère retrouva même le sourire tout en restant en couple avec mon père. Benjamin se calma un peu et Lily se confiait même a nous de temps en temps. Se fut a mes seize ans que je pu aller rendre visite à mon père. Nous échangions par courrier depuis qu'il avait été arrêté et ce moyen de communication était un peu frustrant. Benjamin avait encore trois ans avant d'avoir l'âge minimum pour les visites. Lily elle n'aimait pas du tout l'âge minimum imposé par le règlement de la prison. Je la comprenait. Sept ans c'était long a attendre quand même. J'avais emmener des lettres de la famille avec moi. J'ai serré les dents lorsque le gardien avait lu toutes les lettres en lançant des commentaires. Je voulais voir mon père alors il était important que je ne m'emporte pas. Je savais que j'allais devoir expliquer tout cela à Benjamin et Lily pour que le jour où se serait leur tour ils sachent se qui les attendent. Papa était bien plus maigre que dans mes souvenirs et cela m'inquiétais. Je lui fit face de mon inquiétude, mais il réussit à me rassurer par ses mots et par son sourire. Il était attentif à ce que je lui racontait pendant l'heure de visite. Je lui parla des bourses que j'avais reçu pour l'école de droit de la région de Unys et de l'inquiétude de maman concernant mon départ. Lui, il était fier de moi et me promis de parler à maman lorsqu'elle viendrait a son tour lui rendre visite.

Ce fut deux ans plus tard que je partie pour la région d'Unys. La faculté de droit était magnifique et immense. Je crois que cette période de ma vie marquait la fin de l'adolescence et le début de l'âge adulte a la perfection. Ce fut là que je fis la connaissance de Sonia. La jeune femme est orpheline et fait maintenant partie de ma famille. Ma mère la traite comme sa fille et Benjamin et Lily l'aime bien également. Nous avons terminé nos études de droit maintenant et il est temps pour nous, après six ans d'apprentissage du droit, de rentrer à Paldea où nous avons pour projet d'y ouvrir un cabinet d'avocats.

Une nouvelle page était sur le point de commencer ...